Jeudi 11 avril 2019
NOVA NEWS
L'information libre et complète de tous les novalandais.
En bref...

Le président français Emmanuel Macron et notre président Simon Simon se sont entretenus hier, au Palais des Fleurs d’Hypérion, pour discuter d’une alliance commerciale entre les deux pays.


Un scientifique novalandais a déclaré dans le Forum des Sciences de Novaland qu'une fleur rare, la pradolite, permet de guérir la coccipathie, maladie bénigne qui contamine de plus en plus de novalandais.


Hier, à la TV Nationale, notre président Simon Simon a annoncé la construction d’une usine de moteurs électriques au nord de Romara.
Les travaux devraient débuter en septembre 2020.


A Romara, un novalandais âgé de 35 ans a été retrouvé mort, pendu, par la femme de ménage de l'hôtel Richemort, hier en début de soirée.
Si la thèse du suicide est pour l'instant privilégiée, une enquête a néanmoins été ouverte.


Un accident s'est produit dans la ville d'Hypérion, samedi matin. Un bus scolaire et un camion transportant de l'essence sont impliqués.
Douze élèves ont été légèrement blessés dans la collision.
Implantation d'une réserve naturelle sur l'île d'Acala
Hier soir, par le biais d'un communiqué de presse, Charles Brecque, ministre de l’écologie, a annoncé la création d'une réserve naturelle au nord d'Acala.
Réserve naturelle

La faune

L'ensemble des animaux vivants sur la réserve naturelle d'Acala a besoin d'un milieu humide et chaud. Des oiseaux, des amphibiens vivent sur l’île et ne pourraient pas survivre ailleurs. On peut trouver différentes espèces très peu connues, comme la grenouille dorée, le pélican à bec noir, le phasme poilu, le moustique géant ou encore l'ibis hurleur.
D'après les scientifiques du Centre de Données sur le Patrimoine Naturel de Novaland (CDPNN), « L’île d'Acala contribue activement à la protection des espèces menacées. »

La flore

L'ensemble des espèces végétales sur l’île d'Acala se développe grâce à l’humidité et à la chaleur du climat tropical de l’île. Par la présence d'engrais riches et naturels, des espèces végétales ne sont présentes que sur cette île, comme le pétunia grimpant, l'hibiscus tacheté, le ficus carnivore ou encore le Spirea Acalien.
En découle également la présence d'animaux que l'on ne trouverait pas ailleurs. Des scientifiques du monde entier parcourent l’île dans l'espoir de découvrir de nouvelles espèces animales et végétales.

Cette réserve, pour quand et pourquoi ?

Cette réserve, qui ouvrira le 21 juin, pour la Fête du Solstice, permettra de préserver la faune et la flore de l'archipel et contribuera à la protection d'espèces menacées qui ont besoin d'un milieu chaud et humide, telles que le pélican à bec noir, l'ibis hurleur ou encore la grenouille dorée, mais aussi des végétaux comme le pétunia grimpant ou encore l’hibiscus tacheté.
Qu'en pensent les experts ?

« Malgré tous les efforts des Novalandais, le nombre d'individus de certaines espèces a diminué de 15% depuis le début des années 90 », déclarent les experts du CNRN. « Il ne s'agit pas seulement de freiner la disparition des espèces, mais de la stopper », ajoute Simon Simon.
Et là, se pose la question du financement. D’après Simon Simon, la construction de cette réserve sera financée par l’État qui y voit un bienfait pour l'archipel.
Malgré les nombreux avantages de cette réserve, elle détruit tout de même le projet immobilier qui envisageait de construire une résidence privée au nord d'Acala.

Les réserves existantes

Sur l'île d'Acala, il y a de nombreuses réserves naturelles. L'une d'entre elles se situe au Nord-Est et est appelée Crocodilius. En effet, c'est une réserve dédiée aux crocodiles.
Aussi, c'est au Nord-Ouest que l'on trouve le parc floral Happyflore, qui regroupe de multiples variétés de fleurs ainsi que de végétaux.
Le Sud- Ouest de l’île contient lui aussi une réserve qui préserve la forêt.
C'est au Sud-Est que la réserve animalière se situera.

Invasion de méduses sur le bord de mer de Romara.
Samedi 9 mars, un phénomène inhabituel a eu lieu sur le bord de mer de Romara. Des centaines de méduses phosphorescentes sont apparues à la surface de la mer, à cause du réchauffement de la température des eaux. Neuf personnes ont été blessées par cette invasion.
Volcan

Ce sont des Chironex, les méduses les plus venimeuses de Romara, des méduses très dangereuses aussi appelées « piqueurs marins ». Les secours ont du intervenir toute la journée pour s’occuper des blessés.

Depuis plusieurs jours des habitants se plaignent de cette invasion. "J’allais me baigner quand j’ai aperçu plein de méduses au bord de mer, un maître nageur m’a tout de suite interdit la plongée", a déclaré Grégory, habitué à venir surfer sur cette plage. En cette première semaine, neuf personnes ont du être hospitalisées, la plupart ont du mal à s’en remettre et sont toujours sous le choc.
"Le phénomène semble être devenu plus courant ces temps-ci", a déclaré à la presse le président Simon Simon. La ville va prendre des mesures pour éviter plus de blessés, les plages vont être fermées jusqu’à nouvel ordre, en attendant de trouver une solution.

"Si le réchauffement climatique persiste dans les années à venir, il est très probable que les populations de méduses augmenteront, nous explique le scientifique professionnel Voltag. Et cela pourrait remettre en cause l'activité de baignade et celle des maîtres-nageurs, pendant un long moment."